
C'est l'envol silencieux des oiseaux migrateurs
Dans la morne plaine, plate et grise
L'envolée se divise
Sans cris, ni heurts
Vers les horizons prisés.
Fiers de leurs voiles déployées,
Aucun n'ose dévoiler
Sa souffrance, cachée.
Versailles, Mars 2011
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